Lars Lerin i akvarell museet i Karlstad

Lars Lerin har under 30 års tid sökt gestalta det nordiska landskapet och ljuset med anmärkningsvärd teknik och ett personligt bildspråk. Oavsett om motivet är frostigt gräs, vinteröppet vatten, en bensinmack, eller mörklagda husfassader hämtade från den värmländska landsbygden, så finns där ofta en strimma av ljus som kallar på betraktaren från ödsligheten.

Lars Lerin a cherché en 30 ans à mettre en forme le paysage nordique et la lumière avec une technique remarquable et un langage visuel personnel. Que le sujet soit de l'herbe givrée, une eau libre en hiver, une station service ou une façade peinte en noir d'une ferme de la campagne du comté du Vermland, il y a souvent un rayon de lumière qui est un appel au spectateur de la désolation.

Quand on a tricoté 13.000 kilomètres à vélo autour du Cercle Polaire, on est d'accord avec Lars Lerin. Les maisons isolées étirent vers elles la lumière. Elles se ressemblent toutes, mais sont toutes uniques, et dedans il y a l'autre vie, ou une vie oubliée.

Que ce soit avec Lars Lerin, Gustaf Fröding, Anders Zorn, Tomas Tranströmer, ou moi-même, la discussion est la même, ta joie vient de la lumière. Mais sais-tu la voir?

Dans le nord, on ne triche pas avec la lumière, on sait ce qu'elle vaut.

En 1969, à Karlskrona, j'avais aussi photographié une Volvo 544. Plus tard j'ai eu une Volvo 122 et une 142. Aujourd'hui c'est mon 45ème billet de voyage.

Et le lendemain c'est la 142 qui s'y trouve.

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