"Människan och Pegasus" - Statu av Carl Milles, Skulptör

Il est intéressant que le titre de cette œuvre mette d'abord l'homme en avant, alors que Pégase traverse l'éther avec ses ailes depuis la nuit des temps, et c'est lui qui a donné l'idée à l'homme de s'envoler, mais pour aussi pouvoir revenir. Le dernier vol est historié au moins depuis les bildstenarna de Bunge.

Je suis heureux, dans le sens où je peux converser de diesel, de Bergman, de couple-moteur et d'arbre à cames ou de design avec les gens qui me prêtent l'oreille.

Loin de son pays et dans la mouvance d'une autre langue, on apprécie aussi encore plus le sens profond ou léger de chacun des mots maternels que l'on emploie. La découverte du suédois permet un sondage de son français et l'on se rend compte que des mots très simples de sa langue sont beaux et surprenants et beaucoup plus transparents qu'on ne le pense, même si leurs racines passent par le grec ou le latin. Chaque mot roule dans la bouche et dans la tête.

De plus, les suédois sont beaux, hommes, femmes, enfants, bébés. Le rayon incident du soleil porté sur un bronzage léger mais intense et d'une régularité irréprochable permet aussi de poser son regard sur des congénères. Je suis au théâtre des lumières, des mots et des tracés.

Et ici människan, l'homme - l'humain, surplombe Pégase. N'est ce pas une envolée lyrique avec un verbe aussi terrible et furieux?

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